Merci à M Serge Rigal, président du département, d'avoir inauguré ce salon du livre. Un salon non subventionné par le département ! Mme Maryse Maury utilise son "droit de veto"...
J'invite Madame Maryse Maury a revoir sa position... Pourquoi ? Rancune ? Rancoeur ? Ressentiment ?
Assumer le passé : les élus du jours ne sont pas responsables des échecs du passé. Sur Internet, l'Histoire m'a donné raison : le choix d'Alsatis en "haut débit de campagne" n'était pas pertinent. Les élus d'alors, MM. Malvy (région) Miquel (département) et Maury (communauté de communes), ne m'avaient pas écouté et avaient subventionné la société de Toulouse. C'est un fait indéniable. Tout comme ma proposition d'un salon du livre au maire de Montcuq en 2002-2003...
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1) Serge Rigal, Président de département du Lot, au salon du livre 2017 de Montcuq en Quercy Blanc.
Une présence "tout un symbole", accompagné de M. Marc Gastal, l'élu du canton.
Ce qu'a vraiment dit M. Serge Rigal...
Le discours de M. Serge Rigal, et sa remise de la coupe annuelle à l'invité d'honneur Gérard Glatt...
Et cette adresse à l'auteur écrivain candidat à la Présidentielle 2017 : "je vous invite à vous lancer en politique..."
2) Madame Maryse Maury fut un sujet des discours officiels du 13 août 2017.
Merci à M Serge Rigal, président du département, d'avoir inauguré ce salon du livre.
Il était accompagné de M. Marc Gastal, le conseiller départemental du canton.
La venue de M. Aurélien Pradié, notre député.
Et de M. Jean-Claude Bessou, le Président de Notre communauté de communes, témoignent bien du consensus autour de cet événement.
Oui, ce salon du livre est une bonne chose pour la commune, pour la région.
Et l'histoire des événements de ce genre montre bien qu'il est préférable d'avoir à sa tête une personne dont la connaissance du milieu est avérée, si l'on souhaite le réussir, le développer, sur une longue période...
J'ai remercié plus particulièrement M. Alain Lalabarde, notre maire, et Mme Catherine Ferrier, notre préfète jusqu'au 4 septembre,
d'avoir cru en ce projet dès le départ, d'avoir soutenu sa philosophie, celle de la diversité, du droit aux opinions et approches divergentes de s'exprimer.
Celle de la littérature telle qu'elle est, avec un ancrage fort sur le département, marqué par la présence parmi les 40 écrivains d'au moins 10 du 4-6.
M Serge Rigal et M. Alain Lalabarde ont exprimé des paroles conformes à mon approche sur la nécessité de relations cordiales.
M. Marc Gastal m'a tendu une perche en commentant "vous savez pourquoi" au sujet de la position de Madame Maryse Maury.
Il semble bien, d'après les réactions de M Serge Rigal et M. Alain Lalabarde, que oui. Et c'est... affligeant. Presque drôle. Tellement dérisoire.
Et dans 150 ans, qu'en reste-t-il ?
Vous pouvez écouter... Extraits des propos tenus
Si j'en crois un article de la DEPECHE DU MIDI, sur Internet, du 25/01/2017, Mme Maryse Maury est vice-présidente, de l'association "La Halle aux livres".
"«Nous nous efforçons de faire résonner très haut le mot culture», a déclaré Françoise Fresquet aux élus et aux adhérents de la Halle aux livres, lors de l'assemblée générale du 20 janvier.
Partenaire de la médiathèque, l'association est très active." POINT.
Selon cet article, cette association a bénéficié, chiffre de 2016 sûrement, de 3 183 euros de subventions.
Dont combien du département ? Je l'ignore.
Si Mme Maryse Maury considère qu'un salon du livre ne doit pas être aidé, comment peut-elle signer une demande de subvention d'une assos dont elle est vice-présidente ?
Cette "Halle aux livres"... peut-être pour montrer qu'elle a de la suite dans les idées, a créé un "prix littéraire"... Dix ans après la création du prix littéraire du salon du livre du net, par un certain Stéphane Ternoise.
Montcuq, le village aux 2 prix littéraires ! Tintintin.
Et l'année dernière, elle a lancé une "Foire au matériel photo et au livre d'occasion".
3 183 euros de subventions. Selon leur Dépêche. Il faut des relations pour certaines subventions ?
Il est beau le soutien à la Culture !!!
Si la mairie diffuse un tableau des associations subventionnées, les subventions du département, je ne les ai pas trouvées.
Il faut compter sur des articles. Par exemple, pour 2016, il semble que la RUE DES ENFANTS ait reçu 5000 euros du département.
Oui, 5000 euros, c'est énorme.
D'où la considérable responsabilité sur les épaules des élus : ils ont le levier essentiel de la vie culturelle.
J'ai naturellement déjà dénoncé, même en chanson, la possible dérive en clientélisme et en validation de subventions non sur la qualité de l'événement
mais la tête de l'ami.
Oui, la nécessaire déontologie des élus est au coeur de notre République.
Oui, 5000 euros... et quelques centaines d'euros nous sont refusés car il faut être deux à signer comme le rappelle Monsieur Gastal, et Mme Maryse Maury... utilise son "droit de veto"...
« Je ne suis pas d'accord avec vous, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. » Cette fameuse phrase faussement attribuée à Voltaire et souvent arborée par nos grands humanistes... le plus souvent de gauche...
J'aimerais savoir ce qu'en pense Mme Maryse Maury...
Mais bon, les écrits qui semblent m'être reprochés, personne n'en a, au moins à ma connaissance, contesté la réalité.
Il s'agissait donc peut-être d'un crime de lèse-majesté ?
La question n'est pas d'être d'accord ou non. Vous devez approuvez !
Bref... Ce temps est peut-être fini ?...
Merci à M Serge Rigal et M. Marc Gastal de leur venue. Ce qui se disait avec fatalisme est maintenant public.
Sommes-nous vraiment en marche vers une autre approche de la politique, respectueuse des idées, des autres, à l'écoute des citoyens ?
Il aurait été possible d'organiser une CAUSERIE LITTERAIRE le samedi, grâce à la présence de plusieurs auteurs sur notre commune,
mais je n'ai eu aucune réponse à mes courriels à cette association dont MME Maury est vice-présidente ni à la bibliothèque.
Où mes livres semblent ne pas intéresser la bibliothécaire. Ce qui est son droit. Elle a le droit de choisir comme Mme Maury celui du "droit de veto".
Bibliothécaire qui ne semble pas non plus intéressée par les 40 écrivains de ce salon du livre.
Quant à LA DEPECHE DU MIDI... Aucun article en 2016 sur la venue de Mme la Préfète du Lot pour la Première.
Pas un mot en 2017 sur ce salon du livre.
La correspondante de LA DEPECHE DU MIDI a-t-elle correctement fait son job ?...
On retrouve également Mme Maryse Maury membre de l'association du festival de la chanson à texte de Montcuq.
Où Mme Liliane Haussy, la correspondante locale de la dépeche du midi, est Chargée de la communication et Secrétaire adjointe.
J'ai trouvé en ligne sur cette DEPECHE DU MIDI.
Maryse Maury : « Je suis là pour travailler ». Du 15 avril 2015. 15 jours après son élection au département.
"Des propos recueillis par notre correspondante Liliane Haussy".
Y'a des associations subventionnées, et d'autres non. La politique c'est choisir. Parfois, pour rebondir sur ma prétendue "mauvaise réputation", qui n'est qu'une construction de notables de la région, à laquelle je réponds souvent "c'est mon côté Brassens". La politique c'est choisir, je crois nécessaire que tous les élus posent leur guitare durant ce choix, celle avec laquelle ils s'accompagnent en fredonnant "les copains d'abord"... L'époque n'en veut plus, de cette vieille politique...
La politique c'est choisir, la politique c'est accepter les critiques. Même quand elles sont fondées.
Je sais, certains élus aiment mettre en valeur des opposants, des critiques, peu crédibles... Ce qu'ils ne supportent pas, ce sont les analyses crédibles.
Bref, retour au salon du livre... Je sais... maintenant que nous avons montré que c'est possible, d'autres se disent peut-être "on aurait dû le faire".
Et même : si ce Ternoise/Terdream dégageait, on reprendrait ce salon ?
J'encourage celles et ceux également persuadés qu'il s'agit d'une bonne chose pour notre commune, à nous rejoindre.
Y'aurait-il des personnes qui ne sont pas venues au salon du livre par crainte que cela soit mal considéré par certaines dames ?
"N'ayez pas peur" : la célèbre injonction de Jean-Paul II...
Voilà, M. Le Président du Département, M. Serge Rigal, a inauguré cette deuxième édition du salon du livre.
Ce qui fera peut-être réfléchir.
Je le remercie de ce geste fort, de cette présence qui a fait sens.
Maintenant, nous attendons la réaction, la réponse de Mme Maryse Maury.
Elle ne peut que remarquer nos propos.
Qui vont, je crois, dans le même sens : celui de la liberté de s'exprimer. Naturellement dans le respect des uns et des autres.
Comme nous y avait si justement invité Mme Catherine Ferrier en 2016 ; sachons exprimer nos désaccords et être unis sur l'essentiel.
L'attitude de Mme Maryse Maury pose problèmes, selon moi, déontologiques.
J'encourage Mme Maryse Maury a méditer les oeuvres de Sénèque. Il y a déjà presque 2000 ans, il remarquait déjà que la colère, donc la rancune, la rancoeur, nous fourvoyait.
On ne fait rien de bien contre. On peut essayer d'apporter des choses. Des petites choses.
Je ne peux quand même pas changer le passé ! Le projet de salon du livre à Montcuq, je le porte depuis le début des années 2000 et le maire de Montcuq d'alors, n'avait pas souhaité le soutenir.
De la même manière, j'avais prévenu qu'Alsatis était une très mauvaise solution pour Internet.
Voilà ce que l'on retient, pour l'instant, de l'entrée en politique de Mme Maryse Maury.
Oui, j'ai failli être mis en situation de ne pas faire ce salon du livre, fin avril début mai.
Encore merci à celles et ceux qui m'ont alors soutenu, fait confiance.
Je l'ai aperçue quelques jours plus tard, Mme Maryse Maury, lors de l'inauguration de la fête de Montcuq.
Je ne peux pas imaginer qu'elle ignorait ce consensus de la voie harmonieuse.
J'ai croisé son regard et je l'ai trouvé similaire à celui croisé fin juillet aux médiévales Montcuquoises...
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Le 02 septembre 2017 à 12 : 41
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