Le maire Alain Lalabarde à la botte de quelles boîtes ?

Édith Lafage semble suivre le Conseil Municipal jeune, peut-être parmi ces collégiens une âme charitable lui expliquera la différence entre ses et ces.

Alain Lalabarde n'accepte donc pas que l'on dise qu'il est « à la botte de ces boîtes-là. » Voilà une information intéressante. Les vaillants correspondants de la presse dite objective ne semblent pas s’être souciés de cette remarque. Je n’en ai en tout cas pas retrouvé trace sur Internet. Comme vous l’avez deviné, je n’achète pas ce genre de papier. Pour le chroniqueurs éloigné du centre, ne fréquentant pas les bistrots, limitant au maximum les contacts humains, c’est donc une donnée fondamentale (dans le cadre uniquement du troublant, sinon Lalabarde, vous avez deviné… la la labarbe…) : une partie de la population dont l’expression parvient aux oreilles du maire (sans bonnet lors de nos rencontres) le considère donc « à la botte de ces boîtes-là. »
Peut-être même avec un rapprochement de la vente du camping à une autre "boîte." Monsieur Lalabarde se considère peut-être encore artisan et ces "boîtes" de potentiels clients ? Mais non, mons (comme disait Marivaux) le cousin, vous êtes maire. Je sais, c’est surprenant. Vous ne doutez quand même pas que Patrice Caumon doive encore plus maudire la tuile tombée sur sa santé en vous voyant patauger ?

Désormais, avant de passer à la difficulté « les chaussettes de l’archiduchesse… », entraînez-vous avec « Lalabarde à la botte et à la barbe de ces boîtes. »

Chapitre 36 du livre "Montcuq troublant", mars 2021.